Si vous comptez sur les « médias sociaux » pour réussir en tant qu’entrepreneur, alors voici 4 vérités qui vont vous économiser un temps fou.
FAIT #1. Personne n’est devenu riche en utilisant Facebook et Twitter, ou les autres « réseaux sociaux ».
J’ai rencontré beaucoup de riches web-entrepreneurs. Au cours des 12 derniers mois, j’ai fréquenté plusieurs DIZAINES de millionnaires de l’Internet. Certains noms connus comme Frank Kern, Eben Pagan, Jeff Walker, Andy Jenkins, Tony Robbins… et beaucoup d’autres millionnaires plus discrets qui ne vendent pas des cours de marketing, mais des produits dans beaucoup d’autres niches.
AUCUN D’ENTRE EUX N’UTILISE FACEBOOK OU TWITTER POUR GAGNER DE L’ARGENT.
Petite précision : je parle bien évidemment de l’utilisation « micro-blogging » : mettre son statut à jour, avoir un maximum de « friends », de « fans » et de « followers ». Je ne parle pas d’utiliser Facebook PPC Ads pour faire de la pub au coût par clic. Et je ne parle pas d’utiliser ces réseaux pour créer une poignée de partenariats stratégiques avec des PDG ou des entrepreneurs qui sont inaccessibles par email.
La triste vérité est bien la suivante :
- Il y a de nombreux millionnaires « visibles » qui utilisent de TRES NOMBREUSES stratégies différentes : l’affiliation, l’arbitrage, le marketing de niche, le consulting, la co-registration… Il serait bizarre que les millionnaires de Twitter soient tous invisibles… quand on sait que le plus gros « atout » de ce réseau est la transparence.
FAIT #2. Ceux qui vantent les mérites de Facebook et de Twitter et d’avoir « une relation avec ses followers et ses fans », ne gagnent pas leur vie avec Facebook et Twitter.
Pour être honnête et précis, j’ai rencontré 3 personnes – TROIS sur des dizaines de millionnaires – qui sont devenues riches grâce à Facebook et Twitter :
- Maria Andros, qui a réalisé un lancement orchestré à 6 chiffres (plus de 100 000 dollars de ventes) pour son cours expliquant « comment monétiser les médias sociaux ».
- Don Crowther, qui en associant à l’université en ligne StomperNet son cours multimédia sur « comment monétiser les médias sociaux » (S.M.A.R.T.S) a réalisé quelques millions de chiffre d’affaires depuis 2007. J’ai d’ailleurs eu l’occasion en Février de réaliser une consultation marketing pour Don pour le relancement de SMARTS en 2010, au sein du séminaire « Product Launch Manager » à Los Angeles.
- Perry Belcher, qui a réalisé une belle performance en 2008 avec son cours multimédia sur « comment monétiser les médias sociaux ». Depuis, il a arrêté le marketing Internet, en partie à cause de la mauvaise réputation qu’on lui faisait sur les médias sociaux.
Notez bien ceci :
Le SEUL point commun de ceux qui sont devenus riches grâce à Twitter n’est PAS que ce sont de gros utilisateurs de Twitter ou qu’ils ont beaucoup de « followers ».
Leur point commun est qu’ils VENDENT des cours au sujet de Twitter, qu’ils surfent sur l’effet de mode, et qu’ils n’utilisent MEME PAS Twitter comme moyen principal de promotion de leurs produits. Ils utilisent de « vrais » médias, comme les mailing lists de leurs partenaires et associés.
Même certains professionnels du « marketing 2.0 » admettent que les utilisations possibles des réseaux ne sont pas à mettre au centre d’une campagne. Quand la question se pose de l’utilisation à faire d’un outil… peut-être que l’outil lui-même est inutile.
Au cours d’un séminaire « JV Alert » auquel j’ai participé à Orlando en 2009, j’ai rencontré des DIZAINES de « reines de Twitter », « experts des réseaux sociaux », « Princes du marketing Facebook », « consultants en stratégie des médias sociaux », etc etc. Tels sont les noms qu’une nouvelle génération de marketeurs factices impriment sur leurs cartes de visite gratuites Vistaprint.
Le marketing a une seule et unique vocation : vendre le produit. Le faire sortir des rayons, et les mettre dans le caddie du client.
Un « marketeur » qui ne peut pas montrer un RETOUR SUR INVESTISSEMENT MESURABLE est un charlatan !
Ce qui m’amène au point #3 :
FAIT #3. Un « fan » ou un « follower » ne paient pas le loyer, ne paient pas le pain ni l’eau courante.
Les champs de « statut » ou d’ « update » ne sont pas une fenêtre de communication efficace, pour deux raisons :
- L’audience n’est pas captive mais distraite, votre tweet ou update est noyé dans ceux de tous les « amis » qui font circuler la dernière vidéo comique en vogue.
- Vos clients veulent votre produit ou service pour atteindre un rêve ou résoudre un problème, pas pour être votre ami. Les photos de vacances ne font pas un argumentaire de vente intéressant ou efficace.
Le « chiffre standard » de l’industrie du marketing direct, dit qu’un email volontairement inscrit à une newsletter rapporte en moyenne $1 (0.7 €) de ventes par mois. Autrement dit, une mailing list réactive de 10 000 noms représente 10 000 € par mois si on communique correctement son message marketing.
Qu’en est-il des médias sociaux ?
QUE VAUT UN « FOLLOWER » ?
Quelqu’un peut-il donner un chiffre ?
FAIT #4. « Twitter » (tweeter ?), ou « socialiser sur Face », fait de vous quelqu’un d’actif, pas productif.
Idem pour tous les derniers gadgets Web 2.0 à la mode.
Répondre individuellement et personnellement à chaque lecteur, abonné, ou même client met une LIMITE à l’effet de levier d’une présence web. (Je n’ai pas dit que ces lecteurs et clients ne doivent pas recevoir une réponse individuelle ! le paradoxe du support client et de l’intervention personnelle, par exemple dans les commentaires d’un blog, mérite un article à part)
Oui, on se sent bien quand on clique un peu partout sur Twitter et Facebook et qu’on voit un retour des autres (commentaires, « j’aime », augmentation des statistiques…) C’est un phénomène psychologique connu sous le nom de « ambient awareness » (perception du milieu ambiant) qui se déclenche quand il y a quelque chose de nouveau dans notre environnement. On se sent bien, et important… comme quand on vérifie 20 fois par jour ses emails.
Mais c’est une PERTE DE TEMPS COLOSSALE, quand il y a des façons bien plus directes de démarrer une activité rentable.
Donnez-moi n’importe qui avec un minimum de compétences dans la vente ou le marketing, ET un minimum de compétences dans n’importe quel type de secteur.
En moins d’une journée, cette personne pourrait générer un chiffre d’affaires considérable (quelques centaines d’euros pour quelqu’un qui manquerait de confiance ou voit petit, beaucoup plus avec un peu d’ambition). En tout cas 20, 50, ou 100 fois plus que la menue monnaie qu’on peut se faire en UN MOIS sur Twitter. Il suffit de passer les bons coups de fil aux bons partenaires commerciaux potentiels, et de savoir vendre un concept de produit, pour créer un partenariat stratégique et faire des ventes. Je reparlerai peut-être de cette stratégie une autre fois
Même sans faire ce type d’effort, construire son propre site ou blog est une stratégie bien plus efficace à long terme que de se faire une position sur les réseaux sociaux.
Un compte Facebook ou Twitter n’est PAS une véritable ressource. Vos amis, vos conversations, vos connexions ne vous appartiennent pas. Elles appartiennent à Facebook et elles peuvent disparaître du jour au lendemain sur une décision d’un administrateur ou d’un modérateur.
Il n’y a AUCUNE assurance que Twitter existe encore dans 3 ans (je miserais même sur le contraire). Quand vous achetez VOTRE nom de domaine, sous réserve de sauvegarder votre site régulièrement, vous êtes au moins à l’abri de la faillite d’une société qui attend un miracle pour trouver son modèle économique.
De plus, utiliser les réseaux sociaux pour obtenir du traffic est un effort à faible effet de levier (je suis en désaccord sur ce point avec l’article d’Olivier Roland sur le traffic web, qui en-dehors de ceci est tout à fait excellent.)
C’est pour ce type de raison que les marques françaises restent frileuses par rapport à twitter,
Conclusion : Utiliser Twitter pour le marketing de son entreprise, c’est comme regarder la TV pour se cultiver.
C’est facile, ça fait se sentir bien, c’est pratique pour suivre le foot, et ça donne un sujet de conversation autour de la machine à café.
Et c’est tout.
Si vous passez actuellement plus de temps sur ces réseaux que dans votre propre « jardin » (site ou blog) sur Internet, alors rentrez chez vous, débroussaillez un peu, et appliquez vos capacités à des activités qui auront un véritable effet de levier pour vous. Le commentaire de Mohamed sur mon article précédent est un bon cri d’alarme !
Retour de ping : Entreprise-marketing.fr
C’est Jeremy Schoemaker de Shoemoney.com qui a dit que Twitter et Facebook étaient des « MWOT » (Massive Waste Of Time).
Je crois qu’il n’a pas tort. 🙂
MaxR
Maxadi.com
Je l’ai rencontré en Mai.. C’est quelqu’un qu’on repère de loin 🙂
il est intéressant de constater que les blogueurs les plus influents de la sphère anglophone ne sont pas aussi fanatiques de twitter qu’on le pense.
La plupart de leurs flux sont automatisés, comme les flux RSS.
Sebastien
Salut,
Félicitations pour le lancement de ce nouveau blog, pour l’heure de très bons conseils. Tu as clairement une place à prendre, c’est le désert de Gobi en France.
Sinon d’un point de vue « conversion », pour transformer un visiteur lambda en membre d’une newsletter, alors je juge aussi Facebook et Twitter comme très peu pertinents. Mais même s’il n’y a pas de lien direct entre le trafic d’un lieu et sa capacité à attirer et à faire s’abonner un prospect, quand on voit qu’aux Etats-Unis Facebook est actuellement plus visité que Google, c’est peut-être amené à changer ?
D’autant que les fan pages autorisent désormais ces fameuses box, qui permettent au passage d’obtenir l’adresse email des fans. Or cette liste sera toujours accessible, même lorsque Facebook n’existera plus.
Yoann
P.S : J’aimerai avoir ton avis sur Gary Vanyerchuck, le considères-tu comme une source fiable ?
Analyse intéressante bien que je trouve qu’elle manque de modération.
Comme pour beaucoup de services web drainant un nombre conséquents d’utilisateurs il est possible de faire du chiffre avec Twitter. Je t’invite d’ailleurs à regarder les résultats obtenus par Dell il y a quelques temps sur ce même support.
De même, il est possible d’utiliser le potentiel Twitter autrement, via des formations par exemple (ce que je fais également).
Bien évidemment, il serait idiot de concentrer toutes son énergie sur ce média que l’on ne contrôle pas et surtout il y a mieux à faire ailleurs.
Twitter a un potentiel il suffit de le trouver et de ne pas voir cet outil de la même façon qu’un utilisateur lambda (cf le célèbre « Think outside the box).
NB : pour mon maigre revenu mensuel via Twitter, sache qu’après la phase de lancement, il me demande moins d’une heure de travail par mois ce qui, je trouve, est pas mal pour une 50ène d’€/mois.
C’est un peu ce que je me disais depuis quelques temps déjà. En France, c’est Tweeter surtout qui m’a toujours semblé être très une perte de temps.
J’aurais du me fier à mon instinct !
Pour le reste, une liste de fan Facebook, ça me sert surtout à crédibiliser mon image.
En effet, en termes de trafic, Facebook est assez peu intéressant. D’après mon expérience, sur une page fan d’environ 2500 personnes, un post ramène seulement une cinquantaine de visites dans les heures qui suivent sa publication…
En revanche, je partage le point de vue de Maryan : une fan box bien remplie (et visible dès les premiers instants sur un blog) crée un bel effet de preuve sociale.
Super article ! … Qui a le mérite de faire la part des choses entre s’amuser sur le web et être efficace économiquement, du coup on touche à la notion de productivité, de leviers, de procrastination, l’air de rien alors que c’est un sujet capital à prendre en compte. C’est marrant j’ai l’impression qu’il y a deux grandes strates de blogueurs, entre ceux qui sont partout, très influents, sur tous les réseaux sociaux, à la pointe de l’info, … mais basé sur un modèle full adsense, et … ceux qui ne perdent pas de temps et gagnent leur vie :))
Bonjour,
Super cet article qui nous montre que les
réseaux sociaux peuvent vraiment être
une perte de temps dans notre business !
En tout cas ça me rassure, vu que je passe
beaucoup plus de temps à m’occuper de mon
blog que d’être sur Twitter et Facebook.
Enfin, je poste tout les jours 5 ou 6 fois des
liens vers mon blog sur ces réseaux sociaux
mais de manière automatiques, ce qui me
permet de me concentrer sur l’essentiel ! 😉
Cdlt,
Daouda
C’est incroyable, certains marketeurs sont allés
jusqu’à offrir de cadeaux pour toute personne qui
le suivrait sur Twitter.
Pratiquement, tous les merketeurs s’y sont mis.
J’ai reçu tellement de messages qui disaient qu’on
pouvait acquérir de nombreux clients potentiels.
Que je me suis laissé convaincre et je me suis dit
que j’allais m’y mettre un jour.
Voilà ! Une sacrée surprise d’entendre une voix qui
s’élève contre cette tendance.
En tout cas, j’ai vraiment apprécié, de même que
l’analyse sur les web-entrepreneurs générant des
revenus importants avec et sans les réseaux sociaux.
De ce fait, cet article m’évite non seulement de perdre
mon temps, mais aussi mon argent, en m’évitant d’acheter
des e-books qui vantent l’usage des réseaux pour booster
ses ventes. Excellent article…
Merci pour cet article qui donne un point de vue nouveau!
Pour ma part, je débute, et je vais gagner un temps précieux
en évitant les formations sur les réseaux sociaux.
Merci encore pour ce regard critique…
Bonne continuation,
Christophe
Cet article est riche d’informations. Neanmoins, je pense qu’il s’agit d’une part de savoir « comment » utiliser les reseaux sociaux a ses propres fins, mais d’autre part, il faut considerer que ces reseaux sociaux ont ete crees par des Americians. Entendons par, par des gens qui, entre fondateurs et utilisateurs, epousent la meme culture sous tous ses aspects.
Ce qui peut s’averer efficace en regle generale aux US ne l’est pas de facon systematique dans le contexte Europeen. Et c’est un bien en soi.
Il faut savoir suvegarder sa culture marketing et creer la difference.
Vivant aux US depuis 15 ans, je dois reconnaitre que les Americains sont de tres bons marketeurs. C’est une chose qu’ils savent bien faire comme le cinema Hollywoodien. Du au systeme de consommation et de la facon dont la societe americaine est sructuree et organisee, il est a note que le public americain ne fait pas preuve d’une grande sagesse en terme de decision d’achat. (je place ce commentaire dans une « Global picture ».
Cela va peut etre changer avec la recession et encore, je n’en suis pas certain au regard des comportements.
Il faut savoir qu’aux US, celui qui parle le plus fort et le dernier a toujours raison et le public suit comme un troupeau de moutons…
Alors a quand un reseau social d’origine Francaise ou Europeenne?
Que penses-tu donc du dernier produit en date de Mike Filsaime et Chris Farrell : http://affiliatedotcom.com ???
Ce qu’ils démontrent dans leurs vidéos semble aller à l’encontre de ce que tu viens de dire …
Je suis d’accord avec Douada.
Si l’utilisation de Twitter ou Facebook (ou autre réseaux sociaux) en tant que tel, sont une perte de temps, certains outils automatisés permettent toutefois un bon retour de référencement.
Ainsi, avec deux ou trois bon pluggins sous wordpress par exemple, votre article est automatiquement envoyé sur l’ensemble des réseaux.
Personnellement j’ai tout de même différencié mes comptes pro des comptes perso 🙂
Amicalement
Eric – DLOCDOG
Je fais partie des personnes qui n’a pas de compte Twitter.
J’hésitais jusqu’à maintenant.
Avec une démonstration aussi pertinente, je vais encore faire partie de ces personnes qui n’adhèrent pas à ce réseau social.
Quant à Facebook, je vais gagner du temps et de l’argent à moins rester dessus pour essayer de récupérer quelques miettes.
Merci pour cet article
Pour moi twitter est un super outil pour :
augmenter mon référencement…
Plus les gens retweet mes articles, plus mon référencement est optimisé (génération de backlinks).
Sur la requête formation twitter je suis en deuxième position dans google sans payer
c’est aussi un trafic non négligeable en terme de référent. A chaque fois que j’ai des nouveaux followers, j’ai des visites sur mon blog.
Twitter est une source intéressante pour trouver des prospects proches de mes centres d’intérêts. Je recherche des personnes à 100 km de mon lieu de travail sur des tweets spécifiques et mes outils mis en place me permettent qu’ils finissent de me suivre. Dés qu’ils me suivent je leur transmets un message de remerciement pour visiter mon site ou recevoir une offre commerciale.
Cela me prends 1 heure par semaine.
Je ne suis pas millionnaire, mais c’est une source complémentaire de trafic ciblé sur mon site.
Mes abonnés :
http://twittercounter.com/compare/sevelindavid/3month/followers
Salut,
Je reviens du salon E-marketing sur Paris (1ère journée) pour connaître un peu l’état d’esprit des « professionnels » sur les réseaux sociaux. Facebook et Twitter sont cités j’ai l’impression dans chaque conférence. Je n’ai pas vu de sociétés pouvant faire un lien direct entre présence sur ces réseaux et traduction en vente.
C’est une équation qui reste complexe. Il apparaît que ces sites sont davantage utilisés comme vitrine et le « business modèle » reste à trouver…
Pour commenter les propos de Mohammed, en effet ces réseaux peuvent apparaître comme des océans mais je pense qu’il faut y voir malgré tout un océan d’opportunités…
Sébastien précise bien que ses remarques ne s’appliquent pas à Facebook Ads et c’est bien là il me semble que la bataille se joue.
Pour quelques campagnes menées ainsi avec de bonnes accroches, les résultats s’avèrent parfois supérieurs en nombre de visite de pages à Google.
Il est vrai que l’exposition des annonces est aléatoire, le ciblage par keywords est moins efficient (voir inexistant, mais c’est un coût par clic…), mais je ferais un parallèle osé avec l’ORTF de grand papa : une pub passant sur la seule chaîne de TV « oblige » le téléspectateur à la regarder (« temps de cerveau »…).
Parce que le nombre de connexions quotidiennes sur Facebook avoisine Google, l’exposition aux annonces est plutôt intéressante (plusieurs millions d’internautes sont facilement atteignables en Francophonie) …
Je ne parle bien sûr que d’exposition, la vente d’un produit est une suite d’évènements et convertir un clic en vente n’est pas le seul fait d’une accroche…
Bonjour à tous, Bonjour Sébastien,
Je viens de découvrir ton blog Sébastien, grâce à Aurélien Amacker qui me propose de participé à ta formation marketing en vidéo, dont je viens de m’inscrire d’ailleurs, et je te félicite pour ton parcours et je suis très content d’avoir atterri sur ton blog !
Merci pour ces conseils sur les réseaux sociaux, j’avais vraiment l’impression de perdre mon temps en essayant d’attiré des visiteurs sur mon blog par twitter ou facebook; ton articles me prouve que j’ai belle et bien perdu mon temps !
Bon allé, je continu ma petite balade sur ton blog 🙂
Amicalement,
Romaric
Salut Sébastien,
On peut être riche et continuer à fréquenter Twitter, il n’y a aucune incompatibilité. Il est même possible, après avoir gagné une bonne moyenne d’argent, d’expliquer sur Twitter, les moyens les plus simples de gagner sa vie dans l’entreprise web.
Les réseaux sociaux nous offrent une plateforme intéressante pour se faire connaitre, mais pas suffisamment efficace pour devenir riche.
Conclusion: Mieux vaut utiliser son temps à exploiter des méthodes qui visent directement le coeur du client, avant se s’amuser sur les réseaux.
A bientôt
Charles
Bonjour
Je suis tout à fait d accord avec vous sur le sujet, j’aime bien l’expression « Twitter » (tweeter ?), ou « socialiser sur Face », fait de vous quelqu’un d’actif, pas productif >> il en est de même pour l’expression » Utiliser Twitter pour le marketing de son entreprise, c’est comme regarder la TV pour se cultiver ». Avec tous les moyens à notre disposition pour se faire connaître, je me demande pourquoi ces réseaux sociaux devraient faire partie de notre « Arsenal ». Un prospect qui cherche de l’information ou un produit ira sur Google pour taper une expression, il n’en tient qu’à vous d’être bien référencé et positionné sur le sujet… Si on ne vous trouve pas à ce moment c’est que vous avez du travail à faire !
Amicalement Claude
Et bien voilà qui met un terme
a une activité que je commençais à mettre en pratique,
mais dans la douleur.
En fait sincèrement je trouve ça plutôt nul,
mais ça n’engage que moi!
Je cherchais à automatiser le tout, ça fait tout une
soirée et une bonne matinée que je perd en fait .
Retour au blog
Merci Sébastien
offre de travail sans experience .suivre ce lien http://sarjad.com/?ref=14640
Bonjour
je suis OK avec cette vision, trop de gens ne pensent qu’à déballer les affaires personnelles ou régler leurs comptes voire faire leur campagne électorale. C’est aussi ainsi que je me suis « offert » un très beau cheval de troye qui a grillé un PC.
Je pense que la vente via les email, ou un partenariat avec un moteur de recherche et surtout via un bon blog. Le difficile est de faire ce bon blog et être bien référencé
merci
succès à tous
yolande
Bonjour
Pour apporter de l’eau au moulin de Sébastien, je vais livrer mon expérience vis-à-vis des réseaux sociaux.
J’ai laissé Facebook de côté et à ce jour j’ai plus de 250 demandes en souffrance, c’est une perte de temps, bien souvent racolé par des petit malins ou des blondes à fortes poitrine.
Twitter à moins de rester scotché devant toute la journée pour regarder les tweets défilé est aussi chronophage que la télévision.
Le seul point positif concernant Tweeter est effectivement une augmentation de trafic sur certains articles qui peut vent être retweeté.
J’ai plus de 900 contacts sur Facebook, et ce que ça engendre est une surcharge de mon mail pour telle ou telle application ou proposition.
Automatisez simplement votre blog pour que ce soit à la fois envoyé faire tweeter et facebook et point bar.
Facebook est une usine à gaz difficilement contrôlable.
Donc a utiliser avec parsimonie et a bonne escient.
Amicalement
Stéphane Munnier
Je ne réagis pas beaucoup aux lectures d’articles,(trop de temps perdu 🙂 mais là, bravo Sébastien, cet article est ex-ce-llent.
De plus je n’arrive toujours pas à comprendre l’utilité de twitter si ce n’est pour « jouer ».
Super.
J.
Je me demande depuis longtemps si je ne perds pas mon temps sur Facebook. J’écris des articles sur le comportement animal, cela est très exigeant en temps pour produire des articles de qualité et finalement peu de gens cliquent sur les articles. En étudiant de plus près Facebook on se rend compte qu’il faut bien au-delà de 1000 fans pour avoir plus de 50 clics ou commentaires sur les articles. Auparavant, j’écrivais les articles sur mon site web, j’ai changé cela pour les écrire sur Facebook… J’en ai écris aussi sur ma chronique.com: les articles sont référenciés oui mais ils disparaissent au fil des jours…Donc, tout ça pour dire qu’on ne sait plus trop quoi faire pour se faire connaître et surtout mettre ses efforts au bon endroit…
Bonjour Sebastien
et bien voila grace a vous du temps d’epargne!
je suis tout a fait d’accord avec votre analyse quant au produit:da qualite et sa valeur ( 500E)
bravo pour ce realisme!
france
Comme je viens de repartir de zéro dans le Marketing Internet (après quelques incursions autrefois et 2 ans de… coma), je me demandais si j’allais me mettre à jouer avec les réseaux sociaux. J’avais toujours été sceptique quant à leur efficacité commerciale. Vu la trajectoire de Sébastien, ma décision est prise. Bien entendu, pour l’entourage social « réel », ces réseaux gardent leur charme. Merci pour cet intéressant article.
sébatien,vous avez pleinement raison sur ces assertions.A Mardi.bye
enfin des informations plus que pertinentes merci et encore merci je retrouve ici le sérieux , et le professionnel du marketing les choses les plus évidentes sont malheureusement celles qui sont les moins vue par l’ ensemble de la profession
merci sebastien
Je suis artiste peintre , avec un » certain succès d’estime « et veux maintenant passer à la vitesse supérieure. Je veux vendre des reproductions de mes tableaux.Sans non plus tomber dans la vulgarisation de ceux-ci. La fenêtre de tir est très étroite.Donc comment gagner de l’argent sans se brûler les ailes? Sachant que dans ce milieu l’erreur est souvent redibitoire!!!
Bon vent.
Philippe Debat
Bonjour Philippe,
Plus la « fenêtre de tir est étroite », plus la stratégie de vente doit être précise. Vous auriez effectivement beaucoup à gagner à bien définir votre stratégie avant de vous lancer, qu’il s’agisse de temps, d’énergie ou d’argent.
Le but des formations de Sébastien est de donner des outils concrets pour exploiter au maximum le savoir-faire de nos clients et rentabiliser ainsi le travail investi.
Si vous êtes motivé et décidé à avancer dans votre projet, je vous recommande de vous renseigner sur les formations que nous proposons, cela pourrait surement vous aider car certains de nos clients qui partageaient vos doutes ont réussi à transformer l’essai avec brio.
Agathe
merci de ses conseil ,alors fini pour moi cette perde de temps,la vie est trop précieuse .
Excellent article, qu’il est plaisant de le lire !!!
Pas tout à fait d’accord. J’ai un ami qui vient de monter son bar à musique et qui utilise Facebook (ou il a 3 comptes à 1500 amis chacun) pour faire connaitre son lieu, sa programmation et avertir tous ses « amis » des évènements qu’il organise plusieurs fois par semaine. Résultat, dés les 2 1ers mois d’activité, son lieu est plein tous les soirs ou presque… Facebook est un média « social », il est donc légitime sur des activités « sociales » et effectivement pas sur des activités essentiellement commerciales dont le message de vente est au mieux noyé, au pire incongru et mal perçu.
AHHHHHHHHHH comme c’est rassurant de lire le contraire de ce qu’on nous a toujours dit concernant un impact magique des réseaux sociaux soit disant !
Confiante, étant fan d’un artiste, alors depuis 2008 je me suis mise sur facebook au point d’avoir 5000 « amis », je téléchargés plein de photo de cet artiste quotidiennement depuis la page d’accueil ce que tout le monde n’a pas forcément le temps de faire alors cette année je me suis dit pourquoi pas regrouper ces photos rares pour la plupart en plus et le faire sous le concept E-book, ce serait un plus pouvant être monétisable et avec tous les « amis » que j’ai passionné par l’artiste comme moi …j’en tirerai bien au moins 100 commandes surtout en pratiquant un prix intermédiaire de 10$ seulement…J’étais si confiante que j’ai travaillé sans relâche toute la journée jusqu’à finir mon premier E-book…j’ai même embellit les 100 photos pour qu’elles puissent sortir du livre électronique et être affichées en poster si le fan le désirait rendant le concept encore plus intéressant que des photos épars et miniature.
En plus de cela l’artiste en question est un grand humanitaire donc j’ai promit de reverser de l’argent sur la vente à une association en son honneur…
Et bien à ma grande surprise j’ai fait ZERO VENTE…j’avais eu 60 prospects qui avait donné leur accords pour acheter et au final, ils m’ont dit qu’ils avaient apprécié l’idée mais pour quelqu’un d’autre et non pour eux, et m’ont sortie des multitudes d’arguments : chômage, pas de paypal ect lol
Je peux vous assurer que j’ai été frustré à plein d’égards et découragée de devenir infopreneur vu le bide à priori injustifiée de mon premier E-book mais je me suis resaisie et ton article ci-dessus m’y a aidé davantage…tout prend du sens maintenant !
Je voulais rendre ce témoignage pour crédibiliser cet article !
Passer trop de temps sur les réseaux sociaux est à éviter, et même à proscrire. On est bien d’accord.
Mais automatiser ses posts me paraît quand même essentiel. Surtout pour twitter, qui amène du trafic bien ciblé. Sans compter la petite aide au référencement.
A utiliser, mais sans y passer trop de temps, voir pas du tout. 🙂
Bonjour à tous,
Chaque fois que l’on fait référence à quelqu’un « devenu riche », il exerce dans des activités découlant directement du net.
Donc… pour être riche sur internet, il faut vendre de l’internet 😉
Bonjour Sébastien,
Je suis assez en accord avec ce que tu écris sur les réseaux sociaux.
Nous avons lancé une plate forme mondiale d’entraide « Le commerce Social est né » pour tous, artisans, commerçants, artistes, producteurs etc…
La différence majeure c’est que si la personne ne reste pas en gratuit sur le réseau mais prends un abonnement, elle aura accès à une multitude d’outils, plus un espace dédié pour mettre ses produits » pas besoin de créer un site ».
Et la notre société vas reverser des gratifications à toutes les personnes qui prennent l’abonnement et qui vont aider la plate forme à se développer.
Nous reversons environ 50% de nos revenus suite à ses abonnements. Nous ne prenons absolument rien sur les ventes qui se font entre les différents commerçants. Ils peuvent également se créer un réseau d’affiliés et tout cela gérer par notre société dans leur back-office.
Je te joins mon lien d’invitation, car j’aimerais que tu me dises, Sébastien, ce que tu en pense.
Merci d’avance et à bientôt.
Michel
Skype: michel-beesbuz
Reste que Facebook et twitter sont quand même un bon sujet pour communiquer, ou communiquer sur un autre sujet pour ses passions.
Puis leur viralité sont quand même un atout de force. Certe il faut bosser pour arriver à une viralité conséquente, mais si tu prends Norman faits des videos ou Rémi Gaillard il se sont fait massivement connaitre grace à facebook.
Quand même content de te relire Sebastien 😉
Un peu choquée par cet article. Aujourd’hui, il n’existe plus beaucoup de naifs qui s’imaginent que créer une page Facebook ou un profil Twitter leur fera gagner de l’argent. Le ROI des réseaux sociaux prend du temps mais établir une relation avec sa clientèle et user du capital sympathie est une très bonne chose pour les entreprise. A mon sens, mettre de côté les médias sociaux, ce serait plutôt ça l’erreur.. Ce n’est que mon avis.
Tout à fait vrai. Ce n’est ni Facebook et ni Twitter qui font vivre une entreprise. La perte de temps sur ces réseaux n’est pas rentable. Il y a bien plus important comme source de trafic que ces réseaux !
It’s a mammoth playground built of mountains, hills, lakes, rivers, valleys, woodlands,and beaches. kekebddddbdb
J’ai l’impression que dans « Réfléchissez et Devenez Riche » de Napoleon Hill, certains ne voient que « devenez riche ». Ce n’est pas parce que « Dieu Sébastien » dit quelque chose qu’il faut dire « Amen ».
Cet article, aussi bon soit-il, ne reflète qu’une partie du problème.
Je m’explique: c’est bien connu que tout au début d’Internet les marketeurs se posaient exactement la même question concernant le blogging alors que de nos jours tout le monde est d’accord pour dire qu’un blog, c’est le meilleur moyen pour gagner de l’argent avec l’Internet Marketing.
Mais soyons réalistes: ce n’est pas parce que vous êtes sur « le bon coup » qu’il faut fermer les yeux (et surtout son esprit) à ce qui marche ailleurs. Parce que les réseaux sociaux marchent que vous le vouliez ou pas. Marchent pour vous apporter une preuve sociale, marchent pour vous faire devenir un expert ou une autorité dans votre domaine, marchent pour rencontrer de nouveaux prospects et/ou partenaires sur les communautés de votre niche.
En revanche, ça ne marche pas si vous allez pour passer votre temps à lire les commentaires et les derniers news de vos « Amis ». Dans ce cas Facebook et Twitter sont extrêmement chronophages et les résultats ne correspondent pas à ce à quoi vous pourriez vous attendre. Mais, voyez, si vous passez des heures et des heures à lire les articles de tous les blogueurs de votre « short liste » les résultats seront les mêmes. N’est-ce pas?
Si vous voulez vendre sur Internet, d’abord il faut du contenu, un produit. Ensuite, il vous faut un plan, une stratégie. Sans stratégie et sans objectifs, vos futurs clients peuvent se balader devant votre nez, venir et répartir sans que vous en ayez conscience. Comment faire pour les identifier? Quels outils utiliser pour les attirer vers vous? Cela doit faire partie de votre stratégie.
Et par ailleurs, que ce soit sur votre blog ou sur Facebook, si vous essayez de vendre quelque chose à quelqu’un qui ne vous connait pas (même avec la plus belle des pages de vente) il y a de fortes chances qu’il ne vous achète rien ou qu’il ne revient jamais. Or, si vous établissez une relation avec quelqu’un « qui vous trouve » sur Twitter et qui s’identifie avec vous à travers vos « posts », et à qui vous apportez quelque chose (en matière d’information, de compétences, etc.), cette personne va s’inscrire à votre newsletter et ce sera à vous de lui montrer que vous êtes une autorité dans votre domaine, que vous n’êtes pas là seulement pour lui vendre, mais également pour l’aider à être un meilleur entrepreneur, marketeur, coach, consultant, etc. Une fois la confiance établie, votre prospect deviendra votre client avec d’abord, un 1er achat, puis un 2e, puis il parlera de vos produits, de vous autour de lui ou sur son blog et deviendra non seulement un client fidèle, mais aussi votre ambassadeur, celui qui fera le travail à votre place pendant que vous vivez l' »Internet Lifestyle » que vous est tellement chère.
Soyons clairs, vous ne deviendrez pas riche avec Facebook et Twitter (sauf si vous êtes soit le fondateur soit un des actionnaires), mais si vous les intégrez intelligemment dans votre plan, ils peuvent très bien vous aider à le devenir ou en tout cas, à gagner plus d’argent.
Regardez l’exemple suivant de quelqu’un qui fait beaucoup d’argent sur Internet et qui a intégré Facebook et Twitter à sa stratégie de communication:
Eben Pagan
Présentation Page Facebook : « My name is Eben Pagan. I created this page to share with you the same methods I used to grow ten different information product brands from home that have generated more than $100 million dollars in sales » (Je m’appelle Eben Pagan. J’ai créé cette page pour partager avec vous les mêmes méthodes que j’ai utilisé pour faire grandir 10 différentes marques dans l’Infoproduits depuis ma maison et qui m’ont aidé à générer plus de $100 millions de dollars en ventes)
Date d’inscription à Facebook: 08/07/2011
Nombre de Likes: +30K
Twitter: @ebenpagan.
Nombre de « Followers »: 34,9K
Nombre de Tweets: 304 (ce qui montre qu’il ne passe pas sa vie à Twitter)
Dans ses abonnés vous trouverez : @JeffWalker, @JoePolish, @AlexMandossian
Alors, Facebook ou pas? Twitter ou pas? Avez-vous du contenu, de produits à proposer au monde et à vos futurs clients? Si Oui, il vaudra mieux que vos clients vous trouvent sinon vous allez rester avec votre merveille sous le bras. Merci Sébastien pour le post.
Bonjour,
bien que globalement d’accord pour les web-entrepreneurs, Twitter reste tout de même un outil de choix pour les entrepreneurs « physiques » (commerces etc …) pour se créer une présence et une communauté sur le web : tout est dans l’animation de sa communauté.
Une personne ne cherchant pas à se creuser un chemin « original », à travers le flot de tweets postés chaque secondes, ne pourra effectivement envisager un retour positif de son investissement dans ce réseau social.
Bonsoir je souhaiterais avoir des conseilles pour ravitailler Mon blog ? je manque d idée ? et comment faire pour se faire connaitre un peu plus?merci d avance
Cà c’est ce qu’on appelle un article. J’étais déjà convaincu qu’utiliser les réseaux sociaux faisaient l’affaire des propriétaires comme Mark Zuckerberg ou les autres. Malgré, la gratuité pour le particulier cela reste un business de divertissement comme la télé qui n’apporte pas grand chose on le sait à notre intellect.
Même si je ne serais pas contre avoir les millions des followers des personnes cités pour ensuite récupérer leur mail grâce à la tonne de contenu donner gratuitement. Les personnes (les leaders) que je suis sur Facebook ont aussi mon mail car je veux connaitre leur stratégies marketing.
Je pense donc que pour un professionnel il faut se servir des réseaux sociaux pour ramener ces personnes sur les plateformes qui nous appartiennent blogs et sites.
Encore merci pour cet article.
Bonjour Thierry,
Merci d’avoir laissé un commentaire sur cet article, je réalise que cela fait longtemps que je n’ai pas communiqué à ce sujet sur ma newsletter. Je vais publier une suite d’ici l’an prochain 🙂
Sébastien